• À propos de la marque

    Pendant 2000 ans, les Juifs ont caché les attributs qui trahissaient leurs origines. Ils portaient la kippa chez eux, derrière les fenêtres fermées. L’étoile de David était un signe de persécution. « David Roytman Luxury Judaica » a été créée pour montrer au monde que tout attribut du judaïsme est aujourd’hui une question de fierté. Il peut – et doit – être aussi luxueux qu’un beau costume ou une montre.

  • David Roytman, le fondateur de la marque, est né à Odessa. À l'âge de dix ans, il est parti en Israël pour étudier dans une yeshiva. Par la suite, David a servi dans les forces spéciales israéliennes. Il pensait pouvoir changer l'attitude envers la kippa dans le monde. Sept ans plus tard, il a fondé la marque David Roytman. De nombreux membres de l'élite des affaires juives, dont l'ancien Premier ministre Netanyahu, sont devenus ses clients.

Le Judaïca de luxe est une philosophie

Pour un Juif, le judaïsme est indissociable de la vie quotidienne. C'est pourquoi les collections comprennent non seulement des objets religieux, mais aussi des accessoires de tous les jours : bijoux, porte-cartes de visite et articles de sport. Pour la même raison, une collection distincte commémore le 70e anniversaire de Tsahal. David Roytman la dédie au peuple d'Israël qui se bat les armes à la main pour le droit d'être juif.

Le Judaica de luxe est exclusif et attentionné aux détails

Trente maîtres travaillent en filigrane différents types de cuir, tissus et pierres précieuses. Il n'existe aucun autre endroit au monde qui produise une telle variété d'articles judaïques et offre aux clients la possibilité de personnaliser chaque commande en une seule pièce.

Le Judaica de luxe est un art pur

Chaque collection comprend des objets peints à la main, des mosaïques uniques et des gravures. La collection « Make art, not war » de David Roytman prouve que les armes peuvent créer, et pas seulement détruire. Ici, il « dessine » symboliquement des tableaux avec un fusil de précision et reproduit le mot « paix » sur les images avec un tir de char d’assaut. « Vous pouvez froisser et jeter un morceau de tissu à trois dollars dans un coin, mais presque personne ne se permettrait d’être aussi irrespectueux avec une coiffe à cent cinquante dollars. L’histoire de la kippa juive se divise en deux périodes. C’est avant et après l’émergence de notre marque », estime David Roytman.